Contes en solo

Fred Pougeard travaille sur commande en fonction des thématiques et des publics pressentis. Son répertoire présente des contes fantastiques et des histoires de sa composition.

Ces contes peuvent être joués dans toute sortes de lieux, médiathèques, endroits insolites, en plein-air…Nous vous proposons quatre petites formes solo.

  • Va je ne sais où chercher je ne sais quoi

    Contes à partir de 10 ans
    Durée : 50 minutes

    D’après un conte collecté par Afanassiev.

    Un conte fleuve, épique, fou-dingue, d’une fantaisie débridée : dans la Russie d’autrefois, l’humble serviteur d’un roi a la fortune d’épouser une femme dont la beauté surpasse tout. Le roi veut la femme, forcément. Il cherche par tous les moyens à se débarrasser de son serviteur, évidemment. Mais la femme, très vive d’esprit, a aussi quelques pouvoirs…

  • À bouche que veux-tu !

    Contes à partir de 12 ans
    Durée : 55 minutes

    Un mendiant affamé est accueilli par miracle chez un riche marchand de Bagdad. Celui-ci, le voyant dans un triste état, appelle ses serviteurs qui surgissent, apparemment chargés de plats que lui, le mendiant… ne voit pas !
    Commence alors un bien curieux repas.

    Les histoires aussi sont des mets invisibles, et Fred Pougeard en propose quelques-unes, à point ou saignantes, qui mordent à la nourriture et à la vie. Une pincée de dévoration, un zeste de poésie, deux mesures de désir et seize grammes d’angoisse, deux doigts de Grimm, une pincée des Mille et une nuits, une louche de tradition et une autre de fait maison.

  • Têtes qui roulent

    Contes cruels à partir de 9 ans
    Durée : 55 minutes

    Couteaux bien aiguisés, dents acérées, et ironie tranchante en bandoulière, Fred Pougeard sort de son sac de drôles d’histoires noires à faire saigner les oreilles. Ici, tout est bien qui finit bien ; mais là, tout est mal qui finit mal. Des récits tumultueux pour rire (parfois) et frémir (souvent).

  • La rêveuse d’oies

    Contes du grand froid à partir de 6 ans
    Durée : 55 minutes

    Quand Smaranitza dort, il y a toujours des oies qui bougent dans sa tête. Que doit-elle faire ?
    consulter ? cuisiner ? résister ?
    Des contes à rire, à frémir, à réfléchir. « La rêveuse d’oies » nous vient de loin. Du froid. Etrange prisonnière de ses songes.
    Cela fait presque vingt ans que Fred la raconte, qu’il avale des troncs, qu’il engloutit des montagnes et qu’il subit d’effroyables tempêtes pour l’accompagner dans son voyage. Il ne la laisse pas seule. D’ailleurs, il y a toujours cortège autour d’elle, cortège changeant de personnages et d’histoires, ceux et celles qui traversent le conteur au présent.